Comment à tu connu RPGSW ?
Par l'admi Dark Bane (alias Lando Dell pour moi ^^)
Parle nous un peu de toi. (Age, nom, loisir, autres activités, expérience dans le Role Play ...)
Sébastien, 28 ans. Fan de SW et surtout de l'ecriture, je suis hauteur confirmé de Fanfic et admi du forum qui est ou fut votre partenaire Star Wars la guerre noire
Quel camp desire tu rejoindre ?
Combattant libre
Quel personnage desire tu incarner ?
Personnage inventé
Fait nous un post RP pour que l'on puisse avoir une idée de ton niveau de RP.
Née sur Weytta parmi les colons qui peuplent la planète, ma jeune enfance se passa au sein de mon foyer. Ma famille ne fut ni riche, ni pauvre et ne connut aucun malheur qui m’aurait laissé orphelin. J’aurais certainement continué à vivre auprès d’eux et serait devenue, comme mon père, un agriculteur si jamais je n’avais pas eu cette connexion avec la Force. A bien y réfléchir, je pense qu’Elle a été une grande malédiction pour moi mais aussi une précieuse alliée.
Quand j’atteignis l’âge de deux ans, des Recruteurs Jedi vinrent sur la planète pour y découvrir les nouveaux espoirs de l’Ordre. Ils passèrent dans tous les foyers ayant eu des naissances ces dernières années, le mien n’y fit pas exception. A la grande surprise de mes parents, ils décelèrent en moi une affinité certaine avec la Force alors que mes frères et sœurs n’y avait jamais été sensible. Les deux recruteurs réussirent à convaincre mes parents que le mieux pour moi serait de recevoir l’enseignement Jedi et je partis avec eux pour Coruscant. Je ne garde aucuns souvenirs de ma famille, même l’image en larme de ma mère lorsque je suis parti. Tous ce que je sais d’eux me vient des histoires que mon racontées les Maitres.
Le Conseil Jedi fut d’accord avec les recruteurs et m’autorisèrent à incorporer l’Ordre. Je rejoignis donc les plus jeunes adeptes qui vivaient au temple et fut confié aux soins des nounous droides ou des Maitres en charges des plus jeunes. Mon entrainement commença aussitôt mon arrivé, malgré mon très jeune âge les Jedi commencèrent à me former aux différentes histoires liées à la Force. Bien entendu, je n’y compris pas grand-chose mais ça ne les arrêta pas. Je grandis au milieu de pleins d’enfants, tous aimés par des gens de grandes intelligences et de grandes gentillesses. Pour beaucoup d’entre nous, cette vie était bien plus agréable que celle qu’ils avaient quitté et c’est vrai que nous n’avions aucunes raisons de nous plaindre.
Je continuais ma formation aux arts du combat et dans le maniement de la Force. Mais bien vite je me rendis compte que je n’avais rien d’exceptionnel, bon nombre d’autres apprenties étaient bien plus fort et possédaient une meilleure connexion avec cette énergie mystique. Pour les Maitres, cela ne faisait rien. Ils continuaient de me former comme tous les autres et ils me laissaient le temps que je pouvais avoir besoin pour assimiler les choses. Ils jugeaient ma sensibilité à la Force et mes progrès satisfaisant. Avec ce terme, ils faisaient en sorte que je ne me sente nullement en infériorité par rapport à certains de mes camarades. Ce qui me rassurait, c’est que je n’étais pas le seul et tous les ans nombres d’apprenties partaient pour les camps agricoles qui servaient à nous nourrir. Voilà le destin de ceux qui n’étaient pas choisi comme Padawan avant l’âge de treize ans. A première vue, ce destin n’était pas forcement mauvais. On continuait à servir l’Ordre et certainement à voyager. Vu qu’on avait reçut une formation de combattant, on devait certainement pouvoir avoir notre Sabrelaser et être appelé en renfort parfois. Tout du moins c’est ce que je croyais.
Je n’appris la vérité que lorsque ceci m’arriva.
A l’âge de treize ans, aucuns Maitres n’avaient voulu de moi comme Padawan même si je n’étais pas plus faible que certains qui furent choisi et le Conseil m’apprit que j’allais donc être envoyé aux camps. Fort heureusement, j’ai quand même eu l’idée de leur demander quelques précisions sur ce que ça impliquait. Ils m’expliquèrent que ma seule tâche serait de faire pousser les cultures utiles à l’Ordre et que je ne quitterais jamais la planète où il m’envoyait. Ils m’apprirent aussi que tout l’enseignement que j’avais contentieusement mémorisé dans mon esprit et dans ma chair ne me servirait plus à rien et que j’avais interdiction d’utiliser ou de fabriquer un Sabrelaser. Cette nouvelle eut l’effet d’une bombe dans mon esprit et ce fut avec une conscience modéré de ce qui se passait que j’embarqua pour ma nouvelle demeure.
A mon grand étonnement je fus assez heureux de ma vie consacrée à l’agriculture. Bien sur j’eu un peu de mal à m’habituer à la différence avec les entrainements de combat mais ce fut une vie rempli de bonheur et d’amusement. Je passais toutes mes journées en plein air à aider la nature à vivre et j’en tirais de grandes joies. Mais au fond de moi, vivait toujours l’envie de voyager et de réaliser de grandes choses qui pourraient me faire passé pour un héros. Je passai cinq ans dans cette vie calme et quelque peu monotone avant que mes envies prennent le dessus. A croire qu’à force d’être enfermé au fond de moi, elles avaient prise une puissance insoupçonnée. Après avoir murement réfléchit, je demandai à quitter l’Ordre. Ils essayèrent de me retenir en me convaincant que cette vie en valait n’importe quelle autre et ils avaient raison, mais mon envie de vivre autres choses était plus grande. Je quittais donc l’Ordre en ayant une nouvelle vie toute neuve devant moi, dans la quelle je serais le seul maître.
L’Ordre m’avait donné quelques crédits et m’avait permis d’emprunter n’importe quel de leur transport vers la destination de mon choix. Je choisi Corellia. J’avais toujours entendu parler de l’esprit emprunt de liberté de ses habitants et j’avais envie d’y gouter. Une fois arrivé là-bas, je pu louer une petite chambre avec l’argent de l’Ordre et trouver un travail. Ce ne fut rien de bien grandiose, un petit poste de garçon de course mais au moins j’étais libre de vivre comme je l’entendais. J’eu beaucoup de mal à m’habituer à vivre loin du confort qu’apportait l’Ordre Jedi mais au fur et à mesure tout devint plus simple. Mon travail était riche en nouveauté et chaque jour était différent. Mais très vite mon envie de voyager reprit le dessus. Je décidai que de nouveau il me fallait changer de vie.
Je continuai de passer mes journées à travailler et le soir j’allais dans des salles de jeu. Jamais la même deux soirs de suite pour ne pas me faire repérer. Mes donc dans la Force me furent bien utiles et je suis sur que les Maitres Jedi ne m’auraient pas félicité de les utiliser comme ça, mais je réussis à gagner un jolie petit pactole rapidement. Avec cet argent, je m’achetai un Transport Léger Nova-Drive 3-Z à un très faible prix et je pus enfin partir réaliser mon plus grand rêve. Je vendis ou abandonna tous ce que je possédais et que je ne pouvais pas emmener et j’eu le plaisir de découvris le bonheur du pilotage. Ce ne fut pas toujours facile mais très vite je devins un bon pilote.
Je vivais de différentes livraisons, que je faisais sur presque toutes les planètes de la République et je continuais de passer de longues heures dans les salles de jeu. Je m’adonnais aussi à un peu de contrebande mais rien de bien dangereux ou de bien interdit, mon passé de Jedi continuait d’exister en moi. Cette nouvelle vie me plaisait bien plus que toute celle que j’avais pu connaître et je la vécue pendant deux ans avant d’être de nouveau obliger de changer. Cette fois ci, ce ne fut pas complètement mon choix. Je fus entraîné bien malgré moi dans les tourments de l’Ordre 66.
Tout le long de la guerre des Clones, j’étais parvenue à rester le plus neutre possible tout en refusant de travailler pour les séparatistes. J’évitais les planètes en conflit afin de ne pas être tenté de prendre part au combat et j’avoue que je m’en suis bien sortis. Mais vint le moment où la République fit place à l’Empire. A l’époque j’ignorais tout des manigances de Palpatine et pensais comme tout le monde que c’était un homme bon, qui faisait passer les besoins du peuple en premier. J’avais bien quelques doutes sur la prétendue trahison des Jedi, mais m’étant éloigné de l’Ordre il y a bien longtemps je ne pouvais certifier de qui avait raison. La réponse me vint d’une manière très imprévisible. Je faisais une livraison sur une petite planète, rien de bien spécial, quelques denrées alimentaire et quelques produits spéciaux ; tout se passait le plus normalement du monde. Ce ne fut que lorsque je m’apprêtais à repartir que ma vie bascula. Un homme m’aborda alors que je rejoignais mon vaisseau, un parfait inconnu pour moi. Il était vêtu de vêtements ayant vus des jours meilleurs et lui-même ne valait guère mieux. J’ignore toujours pourquoi il s’est adressé à moi alors qu’une bonne dizaine de pilote était présent. Peut être a-t-il sentit ma sensibilité à la Force. Quoi qu’il en soit, l’homme c’est avéré être un Jedi en fuite qui me demandait de l’aider à quitter la planète. L’Ordre 66 était en vigueur et quiconque prit à aider des Jedi serait traité comme eux. On ignorait le traitement qui leur était réservé mais personne ne voulait le savoir réellement. J’eu un moment d’hésitation, mais je déclina sa demande. Je lu une profonde tristesse dans les yeux de l’homme quand il se détourna de moi.
Ce choix sera toujours celui que je regretterais le plus dans toute ma vie.
Pourquoi ne l’ai-je pas aidé ? Qu’est ce que ça m’aurait coûter de le laisser monter à bord et de décoller ?
Je n’aurais jamais la réponse à cette question. Par contre je sais ce que ça m’a coûté de ne pas l’aider. A peine se fut il éloigné de quelques pas, qu’une escouade de cinq soldats clones fit son apparition. Ils se dirigèrent directement vers le Jedi et le mirent en joug. Celui-ci activa son Sabrelaser et la lame bleue éclaira toute la scène qui suivit. En pleine possession de ses moyens, un Jedi parviendrait facilement à éliminer un groupe de quelques clones mais épuisé et certainement affamé, l’homme ne fut pas un bon combattant. Ses gestes étaient lents et maladroits mais il réussit quand même à éliminer deux soldats avant qu’un rayon d’énergie ne le touche au côté. J’assistais à la scène sans réagir jusque là mais quand je vis le Jedi s’écrouler sur le sol, mon sang ne fit qu’un tour. Je me saisis de ma carabine Blaster accroché dans mon dos et je tuai un soldat par surprise. Le bruit du tir me parut assourdissant et tout le reste se passa au ralenti. Je courus jusqu’aux soldats encore vivants, ils commencèrent à réaliser qu’ils avaient un nouvel adversaire. Je me servis de ma carabine comme une masse et éclata le coude du premier qui me prit pour cible, profitant de mon élan je fis un tour sur moi-même et tira à bout portant dans son dos. Le corps s’affaissa mollement sur le sol et je n’eu plus qu’un seul adversaire. Je lui lança ma carabine afin de le surprendre et dégaina une de mes vibro dague, avant même qu’il ne réalise ce que je faisais il se retrouva avec mon arme plantée en travers de sa gorge et tout était fini.
Le Jedi était couché sur le sol, sa respiration était sifflante. Beaucoup de sang coulait de sa blessure et son regard était vitreux. Je m’agenouillai à ses côtés, ne me souciant pas des regards qui pesaient sur moi. L’homme n’avait plus la force de parler, il se contenta de poser son regard sur moi et d’écouter mes excuses. Je sentais les larmes qui coulaient sur mes joues et je ressentais une profonde rage envers moi-même. Si je n’avais pas hésité et que je l’avais aidé, il ne serait pas en train de mourir. Malgré tout, le Jedi semblait m’être reconnaissant d’être intervenu et avant de rendre son dernier souffle il me tendit son Sabrelaser. Je saisis l’arme et la regarda éberlué. Je l’attacha à ma ceinture et souleva le corps désormais sans vie du Jedi, je retournai à mon vaisseau sous les regards mauvais d’une bonne vingtaine de personne et j’entendis ce qu’il disait. « Un traître de Jedi en moins …. Mais qu’est ce qu’il lui a prit de tuer des clones …. Ca doit être un de ces foutu sorcier aussi …. ». Je me dépêchais de préparer le décollage et je quittais la planète avant que d’autres Impériaux n’arrivent.
Dès que je le pus, j’atterris quelques parts où je pus fournir les derniers sacrements au Jedi. Son Sabrelaser est désormais rangé avec soin dans mon vaisseau et dès que je le vois je repense à ce que j’ai fais. Cette leçon restera à jamais graver dans ma mémoire et depuis lors je parcours l’espace comme auparavant mais dans l’espoir de pouvoir retrouver des Jedi et de les aider. Je me fis enregistrer comme chasseur de prime et je tachais d’être toujours le premier à me mettre sur la piste d’un Jedi potentiel.
Caractère (6 lignes minimum):
D’une nature à première vue assez frivole, Galen cache un caractère très réfléchit. De son passé au sein de l’Ordre Jedi, il conserve l’habitude d’utiliser la force qu’après avoir parlementé. Néanmoins, il n’hésite jamais à dégainer son Blaster si le besoin s’en fait sentir. Fier d’une bonne réputation dans les milieux les plus diverses, Galen parvint à maintenir le secret sur ses origines mais vit toujours dans la crainte que son passé de Jedi ne ressorte. De ce fait il évite de se lier avec qui que ce soit et à développer un caractère très distant et renfermer.
Description physique (6 lignes minimum) :
Jeune humain à la peau blanche, Galen à une carrure plutôt intéressante. Mesurant 1 mètre 85 pour un poids de 80 kg, le tout bien répartit en muscle, il ne passe que difficilement inaperçu. Les personnages réussissant à le voir de près sont immédiatement subjugué par le bleu perçant de ses yeux et le contraste avec ses cheveux noir foncés. Naturellement conscient de son physique avantageux, Galen prend grand plaisir à se vêtir de tenu remarquable le plus souvent en cuir. Les cheveux court, les traits sure de lui, son long manteau noir flottant derrière lui, il parcourt les lieus les plus louches pour traquer ses proies.
Sam 8 Aoû - 0:24
