Comment à tu connu RPGSW ? Par le moteur de recherche Forumactif, je cherchais un forum Space-Opera, mais mes recherches s'avèrerent infructueuse. Je me suis mise à fouiller dans les forums RP Star Wars et j'ai eu un coup de coeur pour celui-ci.
Parle nous un peu de toi : J'ai 15 ans et j'ai à mon actif 6 années de RP (famille oblige), je ne dirais pas que ce soit vraiment un avantage mais j'ai eu le temps d'approfondir ma façon de RP et j'ai rencontré un nombre incroyable de RPgistes et de façon d'écrire, je pense que c'est très enrichissant pour ses méthodes personnelles. Je m'appelle Margot et je n'ai pas vraiment de loisirs que j'aime particulièrement (à part passer ma vie sur l'ordinateur), j'aime lire dans le train, écouter de la musique, enfin, des trucs tout à fait inutiles. A vrai dire, je n'ai pas une vie palpitante et ça ne me dérange pas plus que cela.
Quel camp desires-tu rejoindre ? L'Empire.
Quel personnage désires-tu incarner ? Tyrus Hostis ~ inventé.
Mot de passe du règlement : Validé par Plo Koon
Caractère du personnage : Nous ne naissons pas comme nous sommes, à la naissance, chaque enfant à toutes les chances devant lui, parfaitement blanc. Nous ne choisissons pas l'endroit où nous naissons, mais l'égalité est la même sur le point de l'innocence. Aucun gosse ne nait foncièrement mauvais ou angélique, ce sont les années, la vie, la famille, les embrouilles, tout ce que nous faisons est un pas vers une destination, remplissant la balance qui penchera inévitablement d'un côté ou d'un autre, dès la naissance, la vie peut nous promettre un avenir douloureux, qui nous forcera peu à peu a abandonner nos valeurs, sans que la conscience ne soulève les mauvaises actions ni même ne les regrette.
Tyrus n'a pas échapper à la règle, étant encore tout môme il était insouciant, heureux, innocent, ce fut les dérives de son pays natal au fil des années et les coups et bousculades des autres enfants qui firent de lui un enfant désabusé, mélancolique, haineux et emporté par la moral et la conscience commune des petites gens. Les déboires de sa famille et la trahison de sa mère au début de l'hiver ne firent qu'achever ses dernières barrières et brisèrent sa foi envers l'humanité tel que la voyait un gosse qui naissait en temps de prospérité. Depuis ce temps, il est quelqu'un de peu loquace qui ne participe que peu aux conversations, il parle peu, reste dans l’ombre et ne donne jamais son avis que lorsque situation oblige. Il obéit aux ordres qu'on lui donne, tant qu'on le laisse en paix après ou qu'il en gagne quelque chose.
La morale n'est pour lui qu'une belle parole parmi tant d'autres mots que les diverses langues usitées dans la galaxie, un mot illusoire, creux, juste bon pour rassurer les gens et les plonger quotidiennement dans un monde fabriqué de toutes pièces et qu'ils essayent de ne pas voir. Les gens lui font pitié et il refuse de devoir se mêler à des personnes aussi superficiel, la solitude ne le dérange pas, il est condamné à être seul toute sa vie, Pour se séparer des gens, il n'hésite pas à être cassant, voir mauvais avec eux, ne dépassant jamais la relation supérieur/subalterne ou inconnus à inconnus.
Faire mal aux gens lui procure un réel plaisir qu'il ne pourrait décrire, pas celui qu'on à quand on mange quelque chose qu'on aime ou quand on fait ce qu'on a toujours rêvé de faire, non, plutôt un sentiment de satisfaction éphémère qu'il recherche en permanence. Comme la plupart des 'orphelins', Tyrus est quelqu’un rongé par la peine, le regret et inévitablement la rancœur… il n’est rien de plus qu’une âme brisé qui a conscience d’avoir perdu tout espoir de revoir un jour le monde avec les yeux d'un enfant, avec innocence, en prônant la liberté et l'égalité des peuples. Marqué à jamais, il n'oubliera jamais les atrocités, préférant les enterrés sous des décombres de sa pitié et en faisant face au monde avec pour air de dire :'Tu vois, tu m'as frappé, meurtri, blessé, mais je tiens encore debout...'. Tout cela n'est que façade, boutades, rires, fausses amitiés, ils savent tous que la vie ne sera plus jamais la même.
Tyrus est loin d'être un rêveur, il a les pieds sur terre et connait ses capacités, veillant a ne pas trop en demander a son corps, sachant a peu près ce qui lui serait fatal ou non. Même s'il doit tuer des dizaines de personnes de sang-froid, il n'hésitera pas tant que la sienne est sauvée. Il n'a plus aucune arrière pensée ou de réel souvenir des morts plus tard quand il tue. Pour lui, des morts sont des morts, et il n'y a pas a se morfondre pour eux, de toute façon, qu'est-ce qu'on pourrait faire de plus pour ces macchabées ? Par contre ceux qui le dérange plus sont ceux qui ne sont pas réellement mort, soit parce qu'il les a ratés, et il sait qu'ils pourraient être embêtant plus tard, ou ceux qui sont ses prochaines victimes en ce moment.
En totale contraste avec son air renfrogné et anti-sociale, il aime se faire remarquer des fois par des entrées fracassantes où il surgit à l'improviste là ou ne s'attend pas à le voir et où il n'est pas désiré, déblatérer des idioties pour passer pour plus idiot qu'il ne l'est et repartir en gloussant tel une pintade en rut pour revenir quelques minutes après, niant tous les fait lorsqu'on lui demande le comment du pourquoi tout en ne sachant pas quoi répondre de ce qu'il faisait et où pendant le moment fatidique où ses nerfs lâchaient. Il aime jouer avec les nerfs des gens et faire des choses qui peuvent s'avérer dangereuses pour tous le monde. Il lui arrive souvent d'avoir des hallucinations délirantes.Face à ses supèrieurs hiérarchiques, ou face aux Siths, Tyrus sait se taire, avoir l'air respectueux et même avoir peur quand il le faut, il connait les terrifiantes rumeurs qui bruissent dans les rangs à propos des Siths et du Seigneur Vador et il n'a aucune envie de les vérifier par lui même, donc autant jouer le jeu.
Description physique du personnage : Quoi que les gens disent, peu importe ce qu’ils en pensent, l’apparence est bien souvent le facteur sur lesquels les gens s’appuient en premier lieu lors d'une rencontre inopinée ou prévue à l'avance. Malheureusement, il ne s’agit pas là d’une simple théorie que l'on balance comme cela pour justifier le fait que la peuplade ne nous apprécie pas, mais c'est bien là un fait qui a été prouvé maintes et maintes fois: les gens qui possèdent une apparence attirante, même si leur personnalité est tout a fait exécrable, auront toutes les chances de se faire apprécier. Alors que les personnes au faciès plus repoussant, eux, devront faire preuve de beaucoup plus d’efforts pour se faire valoir et apprécier.
Tyrus n'est pas une personne laide, mais on ne peut pas dire qu'il fait partie de la caste des belles personnes comme la plupart des grandes personnes qui s'embellissent de fioritures et utilisent des lotions et autres produits de beautés afin de gommer le plus petit défaut. Il ne comprends pas pourquoi autant de temps et d'argent sont utilisés de façon aussi stupide alors qu'ils pourraient être utilisés de manières plus efficace et tangibles qui resteraient gravées dans la pierre du temps. Il n'a pas le temps de s'encombrer de tout ça, le temps passe si rapidement, et lui si peu pour tellement de choses à faire... Voir des officiers de haut rang passer des heures à se pomponner, remettre une mèche droite alors qu'elle est sous la coiffe règlementaire ou aller constamment chez le coiffeur, il trouve ça d'un... effemminé.
Il n'est pas d'une taille immense, mais il n'a pas à se plaindre d'être trop petit, dans la moyenne ou juste un petit peu en-dessous, c'est sur qu'à côté d'un jeune des nouvelles générations, il fait môme qui essaye de jouer dans la cour des grands. Mais il a beau ne pas être grand et ne pas faire plus attention que cela à son physique, ce n'est pas pour autant qu'il le néglige, non, il est maigre et sous son uniforme deux fois trop grand pour lui se cachent des genoux cagneux, des côtés saillantes et des doigts osseux souvent cachés dans ses manches ou dans des poches.
Une masse de cheveux coupés courts et se livrant une perpétuelle bataille pour savoir quel mèche de cheveux ou quel épis prendra cette place-ci ou cette place là sur le sommet de son crâne, cette micro-guerre forme un résultat assez impressionnant d'épis en tous genres et de mèches de cheveux blonds/crème, rebelles et hirsutes. Sur ce point, on ne peut pas dire qu'il a une coupe règlementaire, même sous sa coiffe en tirant ses cheveux en arrière, l'on peut voir des mèches rebelles et la longueur supérieure à la moyenne des soldats. Une paire d'yeux vert pétillant, d'un vert prairie comme dirait certains, mais il n'a jamais vraiment vu une prairie de près, étant originaire d'Axxila, planète principalement urbanisée. Ses sourcils sont constamment froncés et certains ont déjà plaisantés sur le fait qu'ils semblent très fournis. Sur son nez fin se trouvent des taches de sons qui paraissent plus visible lorsqu'il y a un grand soleil tranchant avec la peau pâle.
Post RP: D'habitude je fais mes RPs à la troisième personne du singulier, mais j'étais inspirée pour faire un RP exceptionnel à la 1ère.)
Je tremble rien qu'à l'idée de faire ce que je vais faire, monter sur le pont de ce destroyer, en tant qu'officier de pont... J'ai toujours été un officier subalterne, je suivais comme son ombre un Capitaine ou un Amiral, lui servant d'aide de camp, cirant ses bottes, m'occupant de leur ordonnance, notant tout ce qu'il y avait à noter, je savais tout de leur petite vie minable, du nom de leur premier animal de compagnie à celui de leur amant(e), je savais ce qu'ils préfèraient le matin, le soir, quel position ils aimaient au lit et même des choses bien plus intimes que cela. Je savais tous, et je crois que je n'en pouvais plus, tous savoir d'une personne peut parfois faire peur... très peur. Je me faisais peur et me dégoûtait moi même. J'étais bien loin de mon rêve initial, celui d'être un Grand Amiral, chef de la Flotte Impériale, connaissant l'Empereur et celui qui éliminerait définitivement la Résistance, petite chose inutile et juste particulièrement embêtante.
Bien sûr, cela est irréalisable, les rêves existent pour ne pas être exaucés, mais j'aurais au moins voulu pouvoir être maître de moi même, ne plus à devoir cirer ces stupides bottes qui ne servaient à rien, pouvoir donner des ordres autres qu'à des soldats de base et même être reconnu comme un grand Officier. Ce rêve est arrivé, j'ai quitté ces choses que j'exécrais, j'ai été promue Lieutenant il y a trois longues années où j'ai travaillé avec acharnement. Cela fait peu de temps, mais je suis actuellement Capitaine, un jeune Capitaine désireux de faire ses preuves face au monde. Je serais bientôt connu pour ce que je fais et non par un nom illustre d'un père fortuné ou d'une mère sénatrice. Je ne suis pas connu, je n'ai reçu d'aide de personne et surtout pas de ma famille... si on peut appeler cela une famille...
Ma mère m'avait amenée le jour de mon anniversaire chez sa nièce et m'a dit de l'attendre là pendant deux heures, qu'elle reviendrait vite, qu'il ne fallait pas s'inquiéter, qu'elle emmenait une valise avec elle pour porter tout ce qu'elle avait à porter et qu'on irait manger bien pour une fois, pour fêter mes 7 ans, moi qui était devenu un grand garçon vigoureux, fort et mature, je pouvais comprendre qu'elle reviendrait vite, qu'elle disait... Elle n'est surtout jamais revenue, je ne sais pas pourquoi, je ne veux pas savoir... Je lui en ai voulu pendant des années de sa disparition, de sa fuite, de sa lâcheté, du fait qu'elle ne lui ait rien dit de face... Il n'a jamais cessé de la haïr depuis le temps, il ne sait si elle l'a abandonné par confort ou si elle n'avait pas le choix... ou même si elle était morte, égorgée quelque part dans l'immense forteresse Impériale qu'était Axxila.
J'ai ainsi passé ma vie chez ma cousine, qui était tout juste majeure et qui avait quitté le cocon familiale bien trop tôt pour une jeune femme comme elle. Elle m'éleva comme son propre fils, son seul et unique enfant. Elle disait souvent qu'elle n'en aurait pas d'autres, qu'elle ne pourrait jamais trouver aussi beau et aussi bien d'élever un môme, même si je n'étais pas vraiment le sien, elle qui n'aimait pas les enfants, elle m'a prise et élevé comme le sien... Je lui en serais toujours gré, c'est ce que je me dis souvent en contemplant son visage sur le cadre holographique où on nous voit tous les deux, moi en uniforme des Cadets et elle avec son pisto-laser en l'air, l'air victorieuse, comme toujours. Je tuerais les Rebelles... jusqu'au dernier, rien que pour le fait qu'elle soit morte pour eux... à cause d'eux. Elle m'a toujours laissé suivre ma voie, malgré le fait qu'elle ne soit pas toujours d'accord avec mes idées.
Je ne sais pas pourquoi à la base j'ai souhaité être grand gourou d'un croiseur stellaire Impériale... Est-ce parce que j'admirais ces hommes en uniforme qui se baladaient fièrement, les doigts enfoncés dans la ceinture ? Ou est pour pouvoir fuir vers l'inconnu, voler vers de nouvelles destinations et ainsi quitter Axxila, ma très chère et détestée planète natale ? Contrairement à la plupart des gens, l'inconnu ne me fait pas peur, pas plus que cela à vrai dire, je n'ai aucune explication sensée à cela, sauf cette fois, pour monter sur ce pont en tant qu'officier, que capitaine, avec ces hommes d'équipage que je ne connais pas encore ou peu, seulement croisés de loin... Seront-ils comme moi, des hommes blessés par la vie ? Ou des nouveaux et jeunes homme de bords, qui n'ont pas encore affrontés ce qu'il y avait de plus dur dans la vie ?
J'ai connu de nombreuses personnes dans ma carrière dans l'armée Impériale, venant de tous les coins de la Galaxie, de Coruscant à Bakura, de Aldeeran à Anaxes en passant par Raxus Prime. Mais ces hommes, là, je ne les aient jamais rencontrés, ils me terrorisent rien que par leur présence, c'est moi maintenant qui va devenir la cible de leurs yeux critiques, de leurs bruits de couloirs, celui que l'on juge et que l'on finit par accepter comme chef ou à qui l'on mène la vie dure par manque d'autorité flagrante. Je me tords les mains, mais je sais que si je mets trop de temps à arriver, cela ne jouera pas en ma faveur. Je sais que la première impression est souvent la dernière, je vais avoir deux très longues semaines pour pouvoir me faire une place. Je sais également que je vais bientôt devoir faire mes preuves lors d'une bataille...
Bien sûr, mon équipage est déjà suffisamment expérimenté pour pouvoir réagir vite en moment de crise, si je ne sais quoi faire ou dire. Il y a une grande différence entre être celui qui donne des ordres et dirige l'équipage et celui qui se contente d'obéir et d'appuyer de temps à autre sur un bouton. Il faut avoir des épaules large et un coeur bien accroché, je commence à en avoir conscience. Après il y a deux sortes d'officiers, ceux qui le sont par le nom et par des connaissances influentes qui ne durent pas longtemps dans des postes prestigieux et finissent par mourir rapidement, ne comprenant pas toute la logique d'une bataille et ceux qui se sont hissés à la sueur de leur front et par la force de leurs bras. Je pense faire partie de cette caste, il y a bien sûr ceux qui arrivent à des postes élevés parce qu'ils sont chanceux et se trouvent au bon endroit au bon moment ou parce qu'ils savent faire des choses, ou encore par l'ancienneté. Mais ce ne sont pas les plus répandus, malheureusement.
J'ai longtemps servis des officiers de la première partie, souvent des hommes gros, puant et propre sur eux avec une opinion de leur petite personne à faire peur un Hutt. Certains sont morts, d'autres ont eu une promotion grâce à la réactivité de leur équipage et d'autres ont tout simplement choisis un petit neveu comme aide de camp en m'échangeant avec quelqu'un d'autre. Je peux vous dire des choses qui pourraient compromettre pas mal de gens. On n'en sait jamais assez sur les petits secrets des officiers, je peux vous le garantir, c'est pourquoi il vaut mieux éviter de boire, de se confier inutilement aux mauvaises personnes et surtout ne rien faire que l'on puisse regretter plus tard. Je passe ma main dans mes cheveux, essuie mes yeux et essuie mes sourcils, habitude que j'ai pris quand je suis nerveux et inquiet, j'ai l'impression de transpirer par tous les pores de ma peau. Je sais que ce n'est pas vrai, j'ai juste tellement peur et chaud. Ma réel carrière d'officier commence maintenant, je n'ai pas intérêt à trouver de quoi la réduire en miette le premier jour, pas maintenant, pas quelque chose qui pourrait me suivre toute ma vie.
Je suis encore là à me poser des questions inutiles quand j'entends l'alarme... Une attaque ! Déjà ! Bon sang... Je n'ai plus le choix, il va falloir que je monte, mais contre qui ? Contre quel ennemi ? Serais-je suffisamment apte à assumer ce que j'ai toujours rêvé ? Ou n'était-ce qu'une illusion et je ne peux qu'obéir aux ordres d'hommes que je trouve stupide et irresponsable alors que je ne suis pas mieux qu'eux ? Quelqu'un me bouscule, ça court dans tous les sens. Plus le choix, j'entre, la démarche rapide et commence à interpeller un homme à l'air agité en lui demandant la nature de l'attaque, le nombre de vaisseaux et si nous sommes déjà endommagés.
... ma première bataille navale. Ca y est, je suis un officier. J'ai peur, mon dieu que j'ai peur, j'ai les foies, les chocottes, les mains qui tremblent, les yeux dilatés, les lèvres tremblantes et mon ventre qui se retourne à chaque tir. Oui, je suis quelqu'un d'important, à moi de beugler des ordres, à moi d'hurler mon courroux face à ces ennemis qui semblent être acharnés. Ils ne sont que cinq, mais ils sont mes premiers véritables ennemis, mes premiers véritables adversaires. Ils vont mourir aujourd'hui, et je me souviendrais de ces cinqs hommes toute ma vie. Ils sont mes premiers et mes derniers pour lesquels j'aurais peut-être des remords. Mais mon vaisseau et mon équipage avant tout. Je dois penser comme un officier, un capitaine, comme le devrait un véritable homme qui travaille pour la cause juste et bonne de l'Empereur. Je ne fais qu'un avec ma conviction, je suis moi.
Les ennemis deviennent rapidement des petits éclats de feu, ils n'étaient que quelques fous qui pensaient oeuvrer pour la bonne cause... les idiots, ils ne peuvent rien face à moi, face à la suprématie de mon équipage. Equipage que je félicite. J'ai les jambes tremblantes, la respiration sifflante, les yeux larmoyants... ma première bataille, j'ai l'impression que je viens de quitter l'école des officiers, là, maintenant, avec un diplôme en poche, major de ma promotion. Je... je suis fier de moi... fier de mon équipage. Je pense lire la même chose dans leurs yeux. Je suis heureux. Regarde moi Natalia, regarde moi et sois heureuse, je te vengerais.
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Lun 30 Nov - 0:37
